Ce questionnaire a pour but de receuillir des données relatives à votre prise en charge des femmes enceintes consommatrices de substances psychoactives.
A la fin du questionnaire, nous vous avons copié le lien d'une brochure pour que vous y ayez accès. Le but est que vous la consultiez afin que nous vous recontactions dans 2 semaines.
Bonjour,
Nous vous remercions d’avoir accepté de participer à notre étude. Ce travail se construit en deux temps. Dans un premier temps nous vous demandons de bien vouloir remplir ce questionnaire. Il vous sera demandé d’indiquer vos noms, prénoms et adresse mail afin que nous puissions vous recontacter avec votre accord, dans le but de vous questionner une seconde fois. Les informations recueillies seront traitées de manière conforme au Règlement 2016/679 relatif à la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données, votée par le Parlement Européen et le Conseil du 27 avril 2016. Concernant la récolte des données personnelles permettant de vous recontacter (adresse mail), nous souhaitons appliquer l’article 14 de l’arrêté royal fixant les règles de déontologie du psychologue, entré en vigueur le 24 juin 2018. Le secret professionnel partagé nous permettra de nous communiquer votre contact afin de mener la suite de notre recherche. C’est pour cette raison que nous vous demandons un accord, pour que nous puissions utiliser les informations liées à votre contact dans le seul but de vous recontacter pour la suite de notre travail.
Chaque participant peut demander à tout moment d’arrêter la participation à la recherche et cela, sans devoir se justifier. Votre anonymat sera préservé tout au long de l'étude, cependant les informations déjà recueillies ne pourront pas être effacées.
Nous souhaitons mener à bien cette recherche en nous appuyant sur l’arrêté royal fixant les règles de déontologie du psychologue, entré en vigueur le 24 juin 2018. Notamment en appliquant l'article 5, qui stipule que le psychologue dépositaire, par état ou par profession, des secrets qu'on lui confie, est tenu au secret professionnel conformément à l'article 458 du Code pénal. Nous souhaitons respecter l’article 19 qui indique que le consentement libre et informé du sujet doit être obtenu avant tout enregistrement des données qui le concernent. Nous avons également le devoir de faire en sorte que les documents issus de notre travail soient présentés et conservés de manière à sauvegarder le secret professionnel.
Dans un second temps, nous vous proposerons de compléter un second questionnaire relativement similaire afin de pouvoir cloturer notre récolte de données. Le but de ce deuxième questionnaire est de pouvoir évaluer si la séance de sensibilisation (donnée à certains médecins généralistes) a un impact sur l’utilisation de la brochure.
A votre demande, nous vous informerons des résultats des investigations qui vous concernent et répondrons aussi aux questions concernant le devenir de vos données recueillies. Enfin, conformément à l’article 23, nous n’engageons personne contre sa volonté, dans notre recherche (Commission des psychologues, 2018).
Lyreine et Vanessa